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Francothon 2017: Interview avec Martin Kreiner

Par Hélène Lequitte 16 novembre 201729 janvier 2019
Écrit par Hélène Lequitte 16 novembre 201729 janvier 2019 20 Vue

Le président de Francophonie Jeunesse de l’Alberta, Martin Kreiner, était en prison le 13 octobre dernier lors du Congrès organisé par l’ACFA. Une expérience qu’il a réitérée dans le cadre du Francothon le 3 et le 4 novembre dernier. Quel crime a-t-il commis ? Le président de Francophonie Jeunesse de l’Alberta se livre au Franco.

 

Martin Kreiner : Je suis accusé, mais je n’ai pas été encore reconnu coupable de travailler sans relâche pour le développement du Leadership Jeunesse. Le juge Henri Lemire a mis le montant de la caution à 2 500 $ minimum par sept donateurs. C’est ce qui nous a été assigné cette année par la Fondation franco-albertaine.


IMG 6289Le Franco : Le 13 octobre dernier, tu étais aussi en prison avec ta mère ?

 

MK : Oui ma mère, Hélène Gendron, était aussi accusée d’être un modèle pour l’éducation en français. Elle était également en prison afin de récolter des fonds pour l’école Desrochers.

 

LF : C’est la première fois que tu te prêtes à ce jeu-là ?

 

MK : Oui, c’est ma première année. Notre ancien président Colin Philippe a fait la même chose au Francothon l’année passée (ndlr: le FJA a signé une entente le 12 mai 2016 afin d’ouvrir un fonds de dotation avec la Fondation franco-albertaine).

 

LF : Le but du FJA est-il de récolter des fonds ?

 

MK : Oui, on vient de dépasser 10 000 $. On commence à reprendre nos intérêts. Ce n’est pas encore clairement défini ce que nous allons faire avec. Le but du fonds est d’appuyer des projets Par et Pour les jeunes. On pense créer des bourses lors du 45e anniversaire du FJA, le 2 décembre prochain. On va parler un peu plus avec les anciens.

On veut sonder nos anciens membres avant de prendre une décision. L’idée, c’est d’offrir des bourses pour des jeunes afin de faire des études. On voudrait que les jeunes puissent s’impliquer dans divers domaines. On verra ce qui ressort du Francothon avec les anciens membres.

 

LF : Plus les jeunes ont de visibilité, mieux c’est. Le Francothon est une bonne opportunité de se faire connaître. Qu’est-ce que tu voudrais dire à des personnes qui voudraient en apprendre un peu plus sur les jeunes ?

 

MK : Dans le cadre du Francothon, puisque j’ai été envoyé en prison pour récolter des dons, je me suis demandé comment faire la promotion du FJA pour atteindre un donateur potentiel ? La première étape pour un jeune est d’apprendre à connaître le FJA.  Le conseil que je donnerais est le suivant: ‘va à un événement, va assister à un RAJ, surtout le GOAGA’. C’est le meilleur moyen pour connaître tout ce que le FJA fait, et peut faire. Je pense que tout le monde devrait être capable de trouver sa niche à l’intérieur du FJA.

 

LF : Quel est votre lien avec la Fondation ?

 

MK : Je suis vraiment heureux qu’on puisse travailler avec la Fondation afin de jumeler notre 45e anniversaire et le Francothon. On évite ainsi de faire des doublons avec nos anciens membres, en leur demandant des dons. Ça fait cinq ans que je suis au FJA, ça a beaucoup changé comme organisme. Pour cet anniversaire, on va se pencher pour voir ce qui s’est passé les 45 dernières années et voir comment ça va évoluer. À présent, on a ce fonds de dotation. J’ai vraiment hâte de voir s’il y a des projets qui ont disparu. Je pense que parce qu’on est un organisme Jeunesse, qui tourne quand même assez rapidement, on perd beaucoup de notre histoire. Le 45e sera l’opportunité d’en prendre connaissance.

 

LF : Qu’est-ce que cet anniversaire représente ?

MK : Il y a 45 ans, quatre jeunes étaient au Congrès de l’ACELF. On voulait réunir tous les jeunes Franco-Albertains. Il y avait des circonstances et des situations dans ce temps-là qui existent peut-être toujours pour le FJA ou n’existe plus. Voir le cheminement parcouru d’année en année, cela sera vraiment intéressant. Ça n’est jamais arrivé auparavant qu’on puisse se réunir avec tous les anciens membres et qu’on puisse discuter de cette manière. On a hâte !

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