La petite équipe du journal vous souhaite bon voyage et bon appétit!
Drapeau du Cameroun. Photo : Domaine public, via Wikimedia Commons
Le poulet Directeur Général (poulet DG) par Lauriane Kenmogne
Je suis la fondatrice de Chop & Chill Catering, une entreprise de traiteurs. J’ai choisi de vous présenter la recette du poulet DG, un des plats emblématiques du Cameroun, né dans les cuisines urbaines pour impressionner les «Directeurs Généraux», d’où son nom. Véritable symbole d’hospitalité et de raffinement, c’est un plat festif que l’on prépare pour honorer un invité ou célébrer un moment spécial, surtout lorsqu’il réunit des personnes venues d’horizons culturels différents.
Ce plat incarne parfaitement notre philosophie : l’harmonie entre la modernité et la tradition. La modernité se retrouve dans sa présentation soignée et colorée, tandis que la tradition s’exprime à travers la richesse des épices africaines, le soin apporté à chaque cuisson et la convivialité du partage.
Le poulet DG est un plat de rassemblement : généreux, équilibré et plein de caractère. Il évoque la chaleur des dimanches en famille, les rires autour d’une table bien garnie et le plaisir de faire découvrir aux autres les saveurs d’Afrique. C’est l’un de mes plats signatures, car il incarne exactement ce que nous aimons offrir en tant que traiteurs : une expérience culinaire qui unit les cultures et fait voyager les papilles.
Rejoignez Lauriane sur Instagram @its_laurik
Lauriane Kenmogne est la fondatrice de Chop & Chill. Photo : Aïssatou Mbaye
La recette
Portions : 4 personnes
Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 45 minutes
Calories : 500 kcal par portion
Les ingrédients
- 4 cuisses de poulet ou 500 g de morceaux de poulet
- 4 bananes plantains mûres (tendres, pas trop molles)
- 2 oignons
- 1 oignon vert
- 2 tomates
- 1 poivron rouge, 1 vert, 1 jaune
- 2 carottes
- 2 gousses d’ail
- 1 cube d’assaisonnement (facultatif)
- 50 ml d’huile végétale
- 1 poignée de coriandre (facultatif)
- 1 cuillère à thé de gingembre
- 1 cuillère à thé de moutarde
- 2 feuilles de laurier
- Sel et poivre
Le Poulet directeur général (DG). Photo : Aïssatou Mbaye
La préparation
1 – Préparer les épices
- Mixer l’ail, la moitié d’un oignon, l’oignon vert, la moitié d’un poivron vert, la coriandre et vos épices préférées.
2 – Préparer le poulet
- Mariner les morceaux de poulet avec la moitié des épices, le gingembre, la moutarde, le sel, le poivre et un peu d’huile.
- Les rôtir au four à 400 °F pendant environ 40 minutes ou jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés.
3 – Frire les plantains
- Éplucher les plantains, les couper en rondelles épaisses et les frire dans de l’huile bien chaude jusqu’à ce qu’ils soient dorés.
- Égoutter sur du papier absorbant.
4 – Préparer la sauce
- Couper les poivrons en lanières, les carottes en rondelles et l’oignon en lamelles.
- Écraser les tomates.
5 – Mélanger le tout
- Faire revenir les oignons dans un peu d’huile, ajouter les poivrons, les carottes et les tomates.
- Assaisonner avec les feuilles de laurier, le cube d’assaisonnement, le sel, le poivre et le reste des épices utilisées à l’étape 1.
- Laisser mijoter 10 à 15 minutes
- Ajouter le poulet rôti, puis les plantains frits.
- Mijoter encore 5 minutes à feu doux… et déguster chaud!
Bon appétit!
Drapeau de la France. Photo : Domaine public, via Wikimedia Commons
Le pâté lorrain par Marie-Christine Printz
Mon petit bonheur quand je fais cette recette, comme d’autres de ma région, c’est qu’elle me relie à mes origines. Elle me fait penser aux dimanches en famille, à ma mère qui nous préparait de bons plats régionaux, le soin et l’amour qu’elle mettait dans la confection de ces plats. C’est aussi le rassemblement de la famille et des amis autour d’un repas, les discussions, les blagues et, enfin, les bons moments de partage.
Marie-Christine Printz et son pâté lorrain. Photo : Courtoisie
La recette
Les ingrédients
- 400 g d’épaule de veau
- 400 g d’échine de porc
- 1 échalote
- 2 gousses d’ail
- 1 bouquet de persil
- Quelques morilles
- 1 verre de vin blanc, riesling ou équivalent
- 1 cuillère à soupe de cognac
- 500 g de pâte feuilletée
- 1 jaune d’œuf
- Noix de muscade
- Sel et poivre
La préparation
- Faire tremper les morilles séchées 30 minutes dans de l’eau tiède afin de le réhydrater. Les sécher et couper en petits morceaux.
- Couper la viande en petits cubes et placer dans un contenant.
- Ajouter l’échalote finement ciselée, le persil haché et l’ail écrasé dans le bol avec la viande et les champignons.
- Ajouter le vin blanc et le cognac, mélanger avec du sel, du poivre et un peu de noix de muscade.
- Couvrir et placer au frais pendant une nuit pour bien mariner la viande.
- Diviser la pâte feuilletée en 2 parts égales.
- Étaler chaque pâte en un carré ou rectangle de taille égale. Placer la préparation de viande sur la pâte, en laissant un bord de 2 cm (1 pouce). Mouiller le bord avec un peu d’eau.
- Recouvrir avec la deuxième pâte et coller les bordures
- Badigeonner la pâte avec un jaune d’œuf
- Entailler le dessus au couteau et décorer
- Placer dans le four chaud à 400° F pendant 50 minutes.
- Sortir du four et déguster avec une salade composée.
Bon appétit!
Le drapeau du Québec. Photo : Domaine public, via Wikimedia Commons
La tourtière sans viande (au millet) par Céline Bossé
Il s’agit d’une recette beaucoup plus économique et plus facile à digérer que la tourtière au porc que nous préparait ma mère. Comme il s’agit d’un mets traditionnel du temps des Fêtes au Québec, il ne se passait pas un seul Noël sans sa célèbre tarte à la viande. Sa fameuse tourtière du Bas-du-fleuve, qu’elle l’appelait. Pour ma part, je me contente agréablement de cette version végétarienne.
Céline Bossé aime préparer de bons petits plats. Photo : DCCLIC
La recette
Portions : 4 personnes
Les ingrédients
- 1 tasse d’eau
- ¾ tasse de millet décortiqué, grain entier
- 2 oignons
- 3 gousses d’ail
- 18 petits champignons de Paris (blancs)
- 3 cuillères à soupe d’huile de canola
- 1 tasse de flocons d’avoine
- 5 cuillères à soupe de levure alimentaire
- 2 cuillères à soupe de sauce soya
- 0,5 cuillère à soupe d’origan séché
- 3 cuillères à soupe de chanvre
- 1 tasse de bouillon de légumes
- 1 cuillère à soupe de piment de la Jamaïque
- 1 cuillère à soupe de muscade
- 2 grandes abaisses de pâte à tarte
- sel et poivre au goût
La fameuse tourtière du Bas-du-fleuve revisitée par Céline Bossé. Photo : Courtoisie
La préparation
1 – Préchauffer le four à 350F.
2 – Amener à ébullition l’eau et y ajouter le millet et un petit peu de sel. Couvrir et cuire environ 25 minutes à feu très doux.
3 – Laver et hacher les champignons, l’oignon et l’ail.
4 – Dans une casserole, faire sauter les oignons et l’ail dans l’huile environ 5 minutes. Ajouter les champignons et faire revenir 5 minutes.
5 – Ajouter le millet cuit, les flocons d’avoine, la levure alimentaire, les graines de chanvre, les épices et autres assaisonnements.
6 – Foncer un plat à tarte (9 pouces) d’une abaisse et y étendre la garniture une fois qu’elle est complètement refroidie. Recouvrir la garniture avec la deuxième abaisse et y faire des incisions. Bien sceller en écrasant le rebord à l’aide d’une fourchette.
7 – Cuire au four à 350° F pendant environ 45 minutes.
8 – Servir chaud, accompagnée d’une sauce ketchup aux fruits maison.
Bon appétit!
Garba ivoirien au thon frit par Corni Anita Hélène Koffi
Je suis originaire de Côte d’Ivoire et la fondatrice de Côte d’Or Prestige Cuisine à Calgary. J’ai choisi ce plat emblématique de la Côte d’Ivoire, car il est profondément ancré dans mon histoire et mon identité ivoirienne.
Bien plus qu’un simple repas, il symbolise la convivialité, le partage et la simplicité. En Côte d’Ivoire, le garba rassemble tous les milieux : étudiants, travailleurs, artistes, familles. C’est un plat populaire et chaleureux, souvent dégusté dans une ambiance vivante accompagnée de rires et de discussions spontanées.
Pour moi, préparer le garba est une manière de rester connectée à mes racines malgré la distance. Le parfum du thon frit, la texture légère de l’attiéké et la fraîcheur de la garniture me ramènent instantanément à Abidjan, à mon quartier, à mon enfance. Ce plat raconte mon parcours, mon identité et l’amour profond que je porte à ma culture.
Le partager aujourd’hui au Canada, c’est offrir un morceau de mon histoire et inviter les autres à découvrir la richesse culinaire et humaine de la Côte d’Ivoire.
Corni Anita Hélène Koffi. Photo : Courtoisie
La recette
Portions : 4 personnes
Les ingrédients
- 1500 g d’attiéké (semoule de manioc) granulé ou fin (selon préférence)
- 2 morceaux de thon frais
- 2 grosses tomates
- 2 oignons
- 4 piments frais
- 2 cuillères de vinaigre
- 3 cuillères d’huile
- Sel
- 1 cube d’assaisonnement
- Huile pour friture
Le garba ivoirien au thon frit. Photo : Côte d’Or Prestige Cuisine
La préparation (simplifiée)
- Assaisonner le thon avec du sel.
- Découper les morceaux de thon et les faire frire jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés.
- Réchauffer l’attiéké à la vapeur ou au micro-ondes avec un filet d’eau et un peu d’huile.
- Couper en dés les tomates, oignons et piments.
- Servir l’attiéké, ajouter le thon frit et la garniture tomate-oignon-piments et assaisonner avec le cube.
Bon appétit!
Drapeau du Vietnam. Photo : Domaine public, via Wikimedia Commons
Bánh xèo (crêpe) par Bruno Schell
Vous avez sans doute entendu parler des bánh (enveloppe) mi, ce sont les sub vietnamiens, et le bánh xèo c’est le son de la pâte à crêpe qui frit. Chaque dimanche, mamie Annie (Ny) nous faisait des bánh xèo; elle était une Cambodgienne influencée par la cuisine vietnamienne.
Ma maman et moi avons, pendant des années, essayé de reproduire la même recette sans succès. Mamie nous avait donné les ingrédients, la manière de faire, mais le goût n’était jamais exactement celui de nos souvenirs. La nostalgie joue sûrement un peu dans cette recherche du goût perdu. Celle-ci perdure, jamais parfaitement, mais toujours un peu plus proche…
Bruno Schell prépare le bánh xèo avant l’arrivée de ses convives. Photo : Courtoisie
La recette
Portions : 4 personnes
Les ingrédients
- 1 kg de porc haché ou de crevettes
- 1 lb de soja
- Sucre
- 1 salade iceberg
- Feuilles de basilic thaïlandais
- Feuilles de menthe
- 720 ml de farine de riz
- 360 ml d’amidon de tapioca
- 1 cuillère à thé de poudre de curcuma
- ½ échalote
- 1 carotte
- Huile végétale
- Sauce poisson
- Vinaigre de riz
- Eau
- Sel et poivre
Le bánh xèo doit être enveloppé de laitue, de basilic et de menthe. Photo : Courtoisie
La préparation
1 – Préparer la marinade, la viande ou les crevettes
- Mélanger 1 cuillère à soupe de sauce poisson et 1 cuillère à soupe de vinaigre de riz avec le sel, le poivre et le sucre, à votre goût, puis verser le mélange sur la viande que vous aurez déposée dans une cocotte. Bien mélanger pour séparer la viande et cuire à feu moyen-fort pendant une quinzaine de minutes. Quand la viande est cuite, la tamiser pour enlever le gras. Remettre dans la cocotte et mélanger avec le soja. Laisser reposer.
2 – Préparer la sauce nuoc nam
- Prendre un bocal d’un demi-litre, y mettre ⅕ de vinaigre de riz. Ajouter 2 cuillères à soupe de sauce poisson, du sel, du poivre, une demi-échalote émincée, 1 carotte coupée en fines lamelles, 2 cuillères à soupe de sucre. Pour les aventuriers, ajouter un piment séché. Remplir d’eau le reste du bocal. Fermer le bocal, secouer le mélange et laisser reposer.
3 – Préparer la pâte à bánh xèo (crêpe)
- Dans un autre récipient, mélanger 720 ml de farine de riz, 320 ml d’amidon de tapioca et de l’eau. Fouetter vigoureusement afin d’obtenir un mélange homogène et liquide. Ajouter 1 cuillère à thé de poudre de curcuma et bien mélanger. Laisser ensuite reposer la pâte à crêpe.
4 – Cuire les bánh xèo
- Badigeonner une poêle à crêpe d’huile végétale avec un essuie-tout. Faire chauffer la poêle à feu moyen-fort et y verser une louche de pâte. Étaler de manière homogène et laisser cuire jusqu’à ce que la pâte soit croustillante (entre 2 et 5 minutes). Prendre son temps.
- Après 1 minute de cuisson, ajouter la viande ou les crevettes et couvrir.
- Servir tiède, enroulée dans de la laitue avec des feuilles aromatiques (menthe et basilic) et tremper dans la sauce.
Bon appétit!
Drapeau de la Guinée. Photo : Domaine public, via Wikimedia Commons
Le latchiri par Ismaël Diallo
Le latchiri est un plat emblématique de la Guinée et occupe une place centrale dans la culture peule et, plus largement, dans le patrimoine culinaire de la Guinée.
Préparé avec de la semoule de maïs, il séduit par sa texture légère et son goût authentique. Il est généralement accompagné de lait caillé. Il est aussi très apprécié comme dessert, souvent servi avec du lait sucré, du beurre fondu ou du yaourt maison.
Pour les Peuls, le latchiri n’est pas seulement un mets, c’est un symbole d’identité, un plat de partage qui rythme les repas familiaux, les cérémonies et les grandes occasions.
Présent dans les foyers comme lors des fêtes, il témoigne d’un savoir-faire ancestral et fait partie intégrante de la richesse gastronomique guinéenne et peule.
Ismaël Diallo en pleine dégustation du latchiri accompagné de son lait caillé.. Photo : Courtoisie
La recette
Les ingrédients
- Semoule de maïs
- Lait caillé
- Lait sucré
- Yaourt maison
La préparation de la semoule
- Cuisez les grains à la vapeur pendant environ 10 à 15 minutes.
- S’assurer que les grains soient bien détachés puis servir avec l’accompagnement.
- Ajouter le lait caillé. Si vous désirez la manger en dessert, ajouter du lait sucré ou du yaourt.
Bon appétit!
Drapeau de l’Algérie. Photo : Domaine public, via Wikimedia Commons
Mkhabez aux noix et amandes par Imene Kherroubi
Je suis originaire de la Grande Kabylie (Tizi Ouzou). L’une de mes passions, c’est de confectionner des gâteaux traditionnels algériens et de la pâtisserie fine. Parmi les trésors sucrés du patrimoine culinaire algérien, le mkhabez occupe une place de choix. Ce petit gâteau raffiné, souvent préparé lors des fêtes, des mariages et du ramadan, incarne à lui seul l’alliance entre tradition, élégance et savoir-faire artisanal. À base d’amandes et, parfois, enrichi de noix, il reflète un héritage culinaire profondément enraciné dans l’histoire du Maghreb.
L’origine du mkhabez remonte aux anciennes cuisines citadines d’Algérie, notamment celles d’Alger, de Constantine et de Tlemcen, où la pâtisserie fine constituait un art transmis de génération en génération. Les amandes, produit noble par excellence, ont longtemps été au cœur de la gourmandise algérienne. Leur utilisation dans le mkhabez témoigne de l’influence arabo-andalouse, qui valorise les fruits secs et les douceurs parfumées.
Ce gâteau se distingue par sa texture fondante, obtenue grâce à un mélange délicat d’amandes moulues, de noix, de sucre et, parfois, de zeste de citron ou de vanille. Après cuisson, il est traditionnellement nappé d’un glaçage blanc ou pastel, qui lui confère un aspect élégant et festif. Chaque région peut apporter sa touche personnelle, en variant les formes, les couleurs ou les arômes.
Au-delà de sa saveur, le mkhabez porte un véritable lien culturel : il symbolise l’hospitalité, la générosité et l’art de célébrer. Présent sur toutes les tables de réjouissances, il rappelle combien la gastronomie algérienne reste un vecteur d’identité et de transmission. Aujourd’hui encore, il continue de séduire par son raffinement et par la richesse de son héritage.
Rejoignez Imene sur Instagram @Isweetsweet
Patisseries orientales & créations modernes
Imene Kherroubi. Photo : Courtoisie
La recette
Les ingrédients pour la pâte
- 1 mesure (150 g) de noix moulue
- 2 mesures d’amandes moulues
- 1 mesure de sucre
- 1 œuf et 1 jaune d’œuf
- Zeste de 2 citrons
- 1 cuillère à soupe de beurre
Les ingrédients pour le glaçage
- 500 g de sucre glace
- 1 petite mesure (50 ml) d’eau de fleur d’oranger
- 1 petite mesure de jus de citron
- 1 petite mesure d’huile de tournesol
- 1 petite mesure de lait
- Colorant alimentaire
- Fleurs en pâte à sucre pour décoration
Le mkhabez aux noix et amandes symbolise l’hospitalité, la générosité et l’art de célébrer. Photo : Courtoisie
La préparation de la pâte
1- Mettre les amandes et les noix fraîchement moulues dans une terrine.
2- Ajouter le sucre, le zeste de citron, les œufs, la cuillère de beurre et mélanger jusqu’à obtenir une pâte qui ne colle pas aux doigts.
3- Crémer ensuite la pâte pendant environ 5 minutes, puis laisser reposer 8 heures.
4- Former, à l’aide d’un emporte-pièce, des ronds sur une plaque de cuisson.
5- Cuire la pâte dans un four préchauffé à 150 oC pendant 10 minutes.
6- Laisser refroidir.
La préparation pour le glaçage
1- Mélanger le jus de citron, l’huile, le lait, l’eau de fleur d’oranger et le colorant
2- Ajouter le sucre glace et mélanger jusqu’à obtenir un glaçage lisse et brillant.
3- Glacer les biscuits, une fois refroidis, et laisser sécher à l’air libre avant de placer la décoration.