Pour panser nos plaies
Il n’aura pas échappé aux habitués de mes chroniques que je suis philosophe. C’est même mon métier. Je ne joue au poète et à l’écrivain qu’occasionnellement, et ce, tant bien que mal. Mais il y a longtemps que je me demande si l’art, la poésie et la littérature ne sont pas mieux en mesure que la philosophie de panser nos plaies et de nous guérir.