Cette année encore, notre édition florilège vous propose une relecture des meilleurs contenus publiés par Le Franco dans les derniers mois. Chacune des personnes derrière ce journal a pris le temps de fouiller dans nos archives récentes pour vous inviter, chacun avec ses propres raisons, à replonger dans l’un de ces articles de qualité.
Revenons à cette édition, à cette année écoulée. Après avoir vécu des moments extraordinaires avec la reconnaissance de nos pairs, le doute et les difficultés se sont installés. Chronique d’une mort annoncée…
Après le départ d’une grande partie de l’équipe, il n’a pas été simple de se projeter vers l’avenir. Et pourtant, Gabrielle Audet-Michaud, notre seule et unique journaliste encore présente, a su assurer la relève, se retroussant les manches sans rechigner sur la charge de travail à effectuer après seulement quelques mois de collaboration avec le journal. Merci!
Nos chroniqueur.euse.s n’ont pas quitté le navire, au contraire…
Étienne Haché, professeur de lettres, est toujours disponible pour nous offrir une pause intemporelle vers la réflexion. Julie Hildebrand nous illumine de son savoir médical. Et finalement, Kaylie Murangwa, après avoir brillé lors de nos éditions Plumes jeunesse en partenariat avec le Conseil scolaire Centre-Nord, n’a pas hésité à se lancer et à nous partager ses ressentis, ses pensées et ses souvenirs. Merci!
Notre équipe rédactionnelle reçoit aussi régulièrement le soutien inestimable de Véronique Vincent et, depuis peu, de Aidan Macpherson. Deux jeunes qui portent haut et fort leur francophonie en milieu minoritaire et trouvent, malgré leur emploi du temps très chargé, le temps de nous informer. Merci!
J’en profite aussi pour remercier celles et ceux qui, parfois, partagent leurs avis, leurs histoires, leurs idées et leurs expériences. Votre plume nourrit aussi la francophonie minoritaire. Continuez!
Finalement, ces derniers mois, vous avez sans aucun doute fait connaissance avec le talent de Melki, notre caricaturiste. Avec Andoni, notre précieux maquettiste de presse, ils sont sans aucun doute l’âme artistique du journal. Merci!
Et si aujourd’hui Le Franco est aussi un média écrit agréable à lire, sur lequel on ne trébuche pas à chaque mot, c’est l’œuvre de tous et de notre réviseure, Isabelle. Merci!
Les enjeux politiques et économiques du journal ne sont pas de mon ressort, mais je tiens aussi à remercier celles et ceux qui, tout au long du chemin, nous ont accompagnés. Grâce à cette union, la lumière est aujourd’hui au bout du tunnel et cette édition florilège ne sera pas la dernière!
Je vous laisse donc, tout simplement, découvrir ou redécouvrir les textes qui ont été choisis cette année.
Bonne lecture!
Arnaud Barbet

Montage : Andoni Aldasoro
La UNE expliquée par Andoni Aldasoro
Il est compliqué de «mettre» beaucoup de dessins en première page d’un journal local, compliqué et parfois inutile. La plupart du temps parce que les sujets traités dans une publication de cette nature ne l’exigent pas.
Il y a néanmoins quelques exceptions : l’édition de Noël, d’autres consacrées à des sujets légers comme le voyage et les vacances. Lorsque le thème le permet, il est important d’en tirer parti.
La couverture du Franco que j’ai préférée l’année dernière est sans aucun doute celle élaborée récemment pour l’édition spéciale sur le tourisme.
Arnaud, notre rédacteur en chef, inspiré comme presque toujours, a inclus la photo d’une locomotive à vapeur dans le dossier et je n’ai pas pu m’empêcher d’y ajouter un effet d’illustration, quelques textures en demi-teinte et des couleurs en surbrillance. D’enlever ceci, d’ajouter plus de cela, et voilà! Une très belle couverture.
Créer des designs comme celui-ci me rappelle que j’ai beaucoup de chance de pouvoir faire ce que j’aime. Merci Le Franco, merci Arnaud et surtout merci à ma mère, Guille, qui m’a permis d’étudier ce que j’ai tant désiré.