Regard sur la condition autochtone
Indiens, Amérindiens, Premières Nations, Autochtones? Il n’y a pas de réponse parfaite à cette question.
Indiens, Amérindiens, Premières Nations, Autochtones? Il n’y a pas de réponse parfaite à cette question.
(Francopresse) – Les enfants ont autant besoin de sécurité et d’épanouissement personnel que les adultes, autant besoin que l’on respecte leur dignité et leurs chances de bonheur.
Nous avons tous grandi en entendant des anecdotes embarrassantes de quand nous étions jeunes. Une de celles qui me concernent est probablement liée au manque de sommeil.
En politique, contre-pouvoirs et séparation des pouvoirs sont deux notions convergentes. Remontons à John Locke ou Montesquieu. Si la séparation des pouvoirs est une théorie visant à préserver l’ordre politique contre la tyrannie et l’arbitraire, notamment de l’exécutif, les contre-pouvoirs en sont une des balises.
Quand nous cherchons à obtenir quelque chose, nous espérons disposer d’un vaste choix de possibilités. Ce qui nous permet de rationaliser et par la suite d’optimiser nos choix. D’un point de vue utilitariste, c’est une tentative d’obtenir le maximum de bénéfice en dépensant le moins d’énergie. Qui parmi nous s’en plaindrait?
Me voilà de retour en Espagne. La dernière fois, c’était à l’été 2021. Toujours aussi beau ce pays. Face à la Méditerranée, sur la Costa Blanca, dans ce charmant petit village paisible de Benitatxell, dans l’enclave de Cumbre del sol, juché à 300 mètres au-dessus du niveau de la mer, il fait bon méditer aux premières heures du matin.
Art musical majeur, indémodable, éternel, le classique nous console dans les moments difficiles. Il est aussi une communion lors de nombreux événements (mariage, deuil, élection, intronisation). Mais ce n’est pas seulement qu’une simple béquille. Loin de là. Il nous donne aussi toute l’inspiration nécessaire pour imaginer et redéfinir le monde.
Pour cette édition 2023 de Florilège, j’ai choisi de disserter sur Le Franco : notre journal, le vôtre, celui auquel je collabore depuis plus de deux ans; avec tous mes collègues de la rédaction qui déploient une énergie quotidienne incommensurable : je pense à Gabrielle, à notre jeune recrue Kaylie, ainsi qu’à Julie, Melki, Andoni, Isabelle, Arnaud, notre rédacteur en chef, et toutes celles et tous ceux que j’oublie sans doute.
Chaque fois que j’ai le mot florilège à la bouche, j’ai une petite pensée pour mon ami Michel, celui qui m’a tout appris des rouages du journalisme. C’est lui qui avait désigné cette édition ainsi, alors qu’il était à ma place. Un bref passage au journal… mais voilà déjà deux ans que la COVID l’a emporté.
C’est la fin de la journée et nous nous sommes assis à la bibliothèque pour nous détendre après un examen final difficile. Mes camarades et moi nous libérons de nos inquiétudes face aux prochains en discutant des vacances d’été.