Si la crise de la médecine familiale affecte l’ensemble du public albertain, les francophones qui habitent en zones rurales doivent faire face à des défis supplémentaires pour avoir accès à des soins dans leur langue.
À l’heure actuelle, pas moins de 650 000 Albertains sont toujours privés d’un médecin de famille. Et les perspectives d’avenir ne semblent guère plus reluisantes pour la population albertaine, alors qu’un nombre alarmant de postes de résidents en médecine familiale demeurent vacants.
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