
Je souffre, tu souffres, il souffre… mais tous, nous voulons vivre!
Elle s’invite insidieusement dans une vie vers la fin de l’automne, parfois avec beaucoup de violence, lorsque les feuilles qui rendaient les âmes heureuses durant l’été ont fini de mourir sous la pluie et les forts vents; ou, selon les variations du climat, avec l’arrivée de l’hiver, du froid et des premières neiges qui tapissent le sol d’un manteau blanc : qui dit journées de plus en plus courtes, dit longues nuits d’errance, d’angoisse, de peur, de solitude, de mal être et de souffrance.