
Nuits blanches ou sommeil profond, à vous de choisir! (2e partie)
Yeux écarquillés et silence absolu… voilà ce qui m’entoure après avoir battu cette «mioche» dans l’autobus scolaire en prématernelle. C’était surprenant et inhabituel pour moi aussi.
Yeux écarquillés et silence absolu… voilà ce qui m’entoure après avoir battu cette «mioche» dans l’autobus scolaire en prématernelle. C’était surprenant et inhabituel pour moi aussi.
Dans «La nuit est tombée depuis longtemps sur l’Occident» (Le Franco, octobre 2021), je soulignais qu’une bonne partie des maux de notre temps trouve leur origine dans le 18e siècle, époque où l’humanisme dévia de sa trajectoire en faveur de l’individualisme et où la science se matérialisa dans la technique.
(FRANCOPRESSE) – L’ironie des choses parfois… Ironie comme dans le fait que la seule loi bilingue jamais adoptée en Alberta est celle qui, en 1988, a légalisé toutes les lois promulguées seulement en anglais lors des 83 années précédentes. Ô ironie!
Indiens, Amérindiens, Premières Nations, Autochtones? Il n’y a pas de réponse parfaite à cette question.
(Francopresse) – Les enfants ont autant besoin de sécurité et d’épanouissement personnel que les adultes, autant besoin que l’on respecte leur dignité et leurs chances de bonheur.
Nous avons tous grandi en entendant des anecdotes embarrassantes de quand nous étions jeunes. Une de celles qui me concernent est probablement liée au manque de sommeil.
En politique, contre-pouvoirs et séparation des pouvoirs sont deux notions convergentes. Remontons à John Locke ou Montesquieu. Si la séparation des pouvoirs est une théorie visant à préserver l’ordre politique contre la tyrannie et l’arbitraire, notamment de l’exécutif, les contre-pouvoirs en sont une des balises.
Quand nous cherchons à obtenir quelque chose, nous espérons disposer d’un vaste choix de possibilités. Ce qui nous permet de rationaliser et par la suite d’optimiser nos choix. D’un point de vue utilitariste, c’est une tentative d’obtenir le maximum de bénéfice en dépensant le moins d’énergie. Qui parmi nous s’en plaindrait?
Me voilà de retour en Espagne. La dernière fois, c’était à l’été 2021. Toujours aussi beau ce pays. Face à la Méditerranée, sur la Costa Blanca, dans ce charmant petit village paisible de Benitatxell, dans l’enclave de Cumbre del sol, juché à 300 mètres au-dessus du niveau de la mer, il fait bon méditer aux premières heures du matin.
Art musical majeur, indémodable, éternel, le classique nous console dans les moments difficiles. Il est aussi une communion lors de nombreux événements (mariage, deuil, élection, intronisation). Mais ce n’est pas seulement qu’une simple béquille. Loin de là. Il nous donne aussi toute l’inspiration nécessaire pour imaginer et redéfinir le monde.