Pression des pairs : êtes-vous un mouton de Panurge?
Je me souviens clairement de la première fois où j’ai été confrontée à la pression des pairs.
Je me souviens clairement de la première fois où j’ai été confrontée à la pression des pairs.
Le bonheur est souvent perçu comme une série d’expériences et de jouissances, telles que les mets délicieux et copieux, l’argent ou l’acquisition d’un bien matériel.
Un philosophe et théoricien de l’art, Walter Benjamin, a fait une interprétation assez pessimiste d’un tableau du peintre allemand Paul Klee, l’Angelus Novus. Dans ses Thèses sur le concept d’histoire (1940), Benjamin décrit l’ange avec les bras ouverts essayant de contenir autant que possible une catastrophe, terme qu’il associe aux excès du progrès.
Elle transcende les frontières géographiques, culturelles et socioéconomiques. Malgré les effets positifs de la mondialisation, elle touche des millions de vies à travers le monde…
On entend souvent qu’il est difficile de savoir que croire. Ce qui est une façon de viser la science. Certains se demandent en effet si celle-ci repose encore sur un idéal mis du côté du bien ou si, au contraire, elle n’est pas devenue un simple outil au service d’intérêts privés.
Dans «La nuit est tombée depuis longtemps sur l’Occident» (Le Franco, octobre 2021), je soulignais qu’une bonne partie des maux de notre temps trouve leur origine dans le 18e siècle, époque où l’humanisme dévia de sa trajectoire en faveur de l’individualisme et où la science se matérialisa dans la technique.
(FRANCOPRESSE) – L’ironie des choses parfois… Ironie comme dans le fait que la seule loi bilingue jamais adoptée en Alberta est celle qui, en 1988, a légalisé toutes les lois promulguées seulement en anglais lors des 83 années précédentes. Ô ironie!
(Francopresse) – Les enfants ont autant besoin de sécurité et d’épanouissement personnel que les adultes, autant besoin que l’on respecte leur dignité et leurs chances de bonheur.
Art musical majeur, indémodable, éternel, le classique nous console dans les moments difficiles. Il est aussi une communion lors de nombreux événements (mariage, deuil, élection, intronisation). Mais ce n’est pas seulement qu’une simple béquille. Loin de là. Il nous donne aussi toute l’inspiration nécessaire pour imaginer et redéfinir le monde.
Pour cette édition 2023 de Florilège, j’ai choisi de disserter sur Le Franco : notre journal, le vôtre, celui auquel je collabore depuis plus de deux ans; avec tous mes collègues de la rédaction qui déploient une énergie quotidienne incommensurable : je pense à Gabrielle, à notre jeune recrue Kaylie, ainsi qu’à Julie, Melki, Andoni, Isabelle, Arnaud, notre rédacteur en chef, et toutes celles et tous ceux que j’oublie sans doute.